Dominique Romeyer et Christophe Boudin
"Astronomy Dominé"
du 7 au 25 septembre 2004
Dominique Romeyer
Expositions personnelles | |
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2004 | Fondation du Pioch Pelat, Montpellier |
2003 | Galerie du Tableau, Marseille |
Expositions collectives | |
2004 | Galerie AL/MA, Montpellier |
2003 | Galerie AL/MA, Montpellier |
2002 | Musée du Petit Format, Nisme-Viroinval, Belgique 11th International Exhibition, Lódz, Pologne Traverses 98/01, Château de l'Empéri, Salon-de-Provence Parcours de l'Art, Avignon |
Christophe Boudin
Expositions personnelles | |
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2003 | Galerie du Tableau, Marseille |
1998 | Bastide St-Joseph, Marseille Musée de Biberach, Allemagne |
Expositions collectives | |
2004 | Château de Servières, Marseille |
2003 | Arborescence, Aix-en-Provence À Vendre, Marseille |
1999 | Le Laboratoire, Marseille |
1998 | 70 artistes entrent en gare, Marseille 10 artistes / 10 espaces, Marseille |
Éditions | |
2002 | trou 23 (novembre-décembre 2002) |
1998 | Château de Servières : dixième année d'une galerie d'art contemporain dans un centre social des quartiers Nord de Marseille. |
Depuis un an, @dam construit sa mémoire collective sur le site :
www.lafriche.org/the-man-of-tomorrow
Il fera ses premiers pas le 7 septembre.
Après la proposition que m‘a faite la Galerie du Haut-Pavé pour le mois de septembre 2004, j‘ai conçu cette exposition Astronomy Dominé un peu comme une mise en scène et j‘ai invité Christophe Boudin à partager cette expérience : je présente un ensemble de peintures nouvelles et récentes (2004), deux grands formats et des séries peintes à l‘acrylique.
Si les deux grandes toiles présentées Sweet Black et Avril suggèrent toujours de larges espaces comme dans certains tableaux de 2003, les éléments mis en place se sont complexifiés, les fonds adoucis ; lignes mises en réseau de fils, plans fragmentés ou ouverts tels des écrans. On rentre dans une même résonance dans les séries des Syzygies ou Bleu et Vert qui rappelle en diptyque le plan central d‘Avril. Les couleurs subtilement recherchées se font écho de façon permanente tels des signaux lumineux s‘atténuant ou se ravivant selon des rythmes ténus mais ininterrompus. Les tableaux de la série des Petites Heures reprennent et condensent ces rythmes éternels des calendriers et des éphémérides.
D. R., août 2004