Nicolas Simonin
(accrochage ?)
du 4 au 29 mai 1999
Nicolas Simonin
Expositions personnelles | |
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1999 | (accrochage ?), Galerie du Haut-Pavé |
1996 | Galerie Village, Strasbourg proposition(s), installations éphémères, Belfort Galerie K, Paris |
1993 | Shot Gun Gallery, Strasbourg |
1991 | Éditions du Faisant, Strasbourg |
1990 | Galerie Oeil, Forbach (catalogue) |
1989 | Espace Transit, Strasbourg |
Expositions de groupe | |
1998 | L‘été en 8, éof Galerie, Paris Le Faubourg, espace d‘art contemporain, Strasbourg |
1997 | re/découverte(s), Galerie K, Paris Salon de la Jeune Peinture, Paris |
1996 | art 96, Salon international d‘art contemporain, Strasbourg papiers en liberté, Galerie F. Palluel, Paris |
1995 | Musicora, Paris DUO-duos d‘artistes, Le Faisant, Strasbourg Hommage à Marcelle Cahn, Le Faisant, Strasbourg |
1994 | deux temps, trois mouvements, Espace Alternance, Strasbourg, |
1993 | Jeunes artistes d‘Alsace, Espace Valles, Grenoble le coup du lapin, Espace Alternance, Strasbourg (catalogue) |
1992 | Mouvement, Schiltigheim Décadrage, Strasbourg Autrement depuis, Espace Alternance, Strasbourg (catalogue) |
Installation
(détail)
élastiques, épingles et craies grasses
1998, Strasbourg
papier et minimum 4 épingles
Accrochage (détail)
1996/1997 Strasbourg
papier et minimum 4 épingles
(5x11x20cm/unité)
1997, col. particulière
Ici, le travail ne représente rien d‘autre que lui-même, mais sa présence est la trace d‘une action délibérée. Nicolas Simonin travaille salement, c‘est-à-dire sans nier les résidus de ce travail.
Ces actions sur des matériaux triviaux sont des documents, des preuves d‘une présence humaine minimale, celle qui les a produites.
Ici, il n‘y a plus de désillusion, plus de simulacre.
Le travail apparaît, brouillé, provisoire, avec toute la complexité d‘une évidence matérielle. Le travail est le lieu d‘une lutte : l‘action est perpétuellement à refaire, d‘où des séries potentiellement illimitées. Tant que ce travail continuera, c‘est qu‘il reste de la vie.
H. Roelants & n.s., Strasbourg